Jean Rochefort
... en concert le 21 juin dernier.
Un film de Jean-Paul Paulin de 1939.
Je suis tombé sur un extrait de l’émission du Grand échiquier consacrée à Lino Ventura, au moment où l’acteur demande à Georges Brassens et Maxime le Forestier de chanter les Passantes. Mythique.
Dessin inspiré par Audrey Hepburn dans Charade de Stanley Donen.
Voir aussi : Time Tested Beauty Tips
Un chouette poème, écrit par l'humoriste Sam Levenson pour sa petite fille à l'occasion de sa naissance, et que l'on a souvent attribué, à tort, à Audrey Hepburn. Mais elle en fait une belle lecture à la fin de l'émisssion que Frédéric Mitterrand lui avait consacrée en 1989 (link).
For attractive lips, speak words of kindness.
For lovely eyes, seek out the good in people.
For a slim figure, share your food with the hungry.
For beautiful hair, let a child run his or her fingers through it once a day.
For poise, walk with the knowledge that you never walk alone.
People, even more than things, have to be restored, renewed, revived, reclaimed and redeemed; never throw out anyone.
Remember, if you ever need a helping hand, you'll find one at the end of each of your arms.
As you grow older, you will discover that you have two hands, one for helping yourself, the other for helping others.
The beauty of a woman is not in the clothes she wears, the figure that she carries or the way she combs her hair.
The beauty of a woman must be seen from in her eyes, because that is the doorway to her heart, the place where love resides.
The beauty of a woman is not in a facial mode but the true beauty in a woman is reflected in her soul. It is the caring that she lovingly gives the passion that she shows. The beauty of a woman
grows with the passing years.
Sam Levenson
... dessin inspiré par Jean Seberg dans A bout de souffle de Jean-Luc Godard.
A propos de la scène finale, où Jean Seberg prononce ce fameux ''Qu'est-ce que c'est 'dégueulasse' ? " devant Jean-Paul Belmondo
mourrant, Pierre Schoendoerffer l'a quasiment reproduite dans son film La 317ème section, quand
Jacques Perrin rend l'âme devant Bruno Cremer.
En témoignent les dialogues suivants :
A bout de souffle :
Belmondo : C'est vraiment dégueulasse.
Seberg : Qu'est ce qu'il a dit ?
Boulanger : Il a dit que vous êtes vraiment "une dégueulasse".
Seberg : Qu'est ce que c'est "dégueulasse" ?
La 317ème section :
Perrin : C’est dégueulasse.
Cremer : Pourquoi dégueulasse ? C’est la guerre. Et ils savent la faire. Chapeau !
Pour ce dessin, je me suis inspiré d'une scène du film de Jean Renoir :
/fdata%2F3326124%2Favatar-blog-1122565707-tmpphpfH5WvT.jpeg){kind=avatar}
ne sont pas libres de droit, merci de ne pas les utiliser sans mon autorisation.
